Alors non, cet article ne va pas parler
de Super Nanny donc si vous étiez venu ici pour ça, ben d'une vous
avez pas dû lire les étiquettes indiquées sous le lien envoyé sur
mes réseaux sociaux ou alors, deuxième hypothèse, vous venez de
découvrir ce blog et avez cliqué sur un lien découvert au hasard
de vos pérégrinations sur des applications de chat ou autre système
du même genre.
Mais assez digressé, entrons dans le
vif du sujet, nous allons parler de "Mary Poppins", un film
Disney datant de 1964 et réalisé par Robert Stevenson également à
l'origine de "L'Apprentie Sorcière" ou encore d'"Un
Amour de Coccinelle".
Nous sommes à Londre en 1910 et l'on
suit le quotidien de Jeanne et Michaël, les enfants de George Banks
un homme à la vie millimétriquement réglée et très sévère dans
son éducation.
Après une énième fugue des enfants,
leur nounou démissionne et leur père rédige une annonce pour le
journal afin d'en embaucher une autre.
Au même moment, les jeunes
protagonistes de ce film en écrivent une également et la présente
au maître de maison.
Malheureusement, les qualités
recherchées par les uns et les autres sont en complète opposition
et M Banks déchire le texte de ses enfants avant de faire publier le
sien.
Le lendemain une longue file de nurses
ressemblant plus à des adjudants d'armée qu'a des bonnes pour
enfants se tient devant l'entrée de la maison.
Mais c'est alors que la mystérieuse
Mary Poppins descend du ciel et parvient à se faire embaucher.
Et c'est ainsi que la famille Banks va
se retrouver prise dans une folle histoire ou chacun apprendre à
connaître l'autre et à le comprendre.
Même si ce film est très vieux, il
reste assez actuel dans son propos et il a par ailleurs eu droit à
une suite il y a deux ans (mais ne l'ayant pas vue, je ne sais pas ce
qu'elle vaut).
On peut y voir de nombreux niveaux de
lecture, par exemple la défense de ses opinions avec Madame Banks
qui est suffragette ce que ne supporte pas son mari.
Le passage à l'âge adulte des enfants
qui tout au long du film sont confrontés à la réalité du "monde
des grands".
Bref, vous l'aurez compris ce film a
plusieurs facettes.
Alors bien sûr, certaines séquences
où les acteurs en chair et en os évoluent dans un décors de dessin
animé peuvent faire vieilles, mais elle restent très jolies à
suivre et sont accompagnées d'une bande-son tout aussi charmante,
dont notamment la fameuse chanson supercalifragilisticexpialidocious
(alors oui, j'ai triché, je n'ai jamais su écrire ce mot)
Je pense avoir fait le tour du film et
sur ce, je vous laisse, je retourne dans ma Cave, je crois que je
peux entrer dans mes dessins.