Une explosion détruit un centre nucléaire au Japon. Après,
ne que restent trois lettres peintes en rouge « VON » pour démasquer
les coupables.
Rien pendant six mois, puis sur internet est publiée une
vidéo mettant en scène deux adolescents défiant la police, menaçant de déclencher
encore plus de carnages.
Dans ce chaos, seront entraînés Lisa Mishima, une jeune
lycéenne et Kenjirou Shibazaki un officier de police aux méthodes excentriques.
Voilà le point de départ de la série animé « Zankyou no
Terror » (aussi connue sous le nom de « Terror in Resonance ») du
studio Mappa et publiée en 2014.
Il s’agit d’un des meilleurs animés d’enquête que j’ai vu, où
la limite entre la vengeance et la justice est brouillée à l’extrême.
Les motivations et les certitudes des protagonistes seront
mises à l’épreuve tout au long de la série et par moment chaque camp n’hésitera
pas à employer des méthodes discutables pour parvenir à ses fins.
Petit point sur la musique, celle-ci est composée par Yoko Kanno
(« Vision d’Escaflowne », « Cowboy Bebop », « Ghost in
the Shell : Stand Alone Complex », pour ne citer que ces œuvres) en
collaboration avec Arnór Dan Arnarson, chanteur du groupe Islandais Agent Fresco
(je vous invite d’ailleurs à les découvrir si vous ne les connaissez pas, ils
font de bons morceaux)
Ce que j’ai beaucoup aimé avec la bande-originale est la
manière dont certains moments de tension extrême sont accompagnés par une
musique calme créant un contraste très intéressant, sublimant ainsi l’urgence
de la situation.
Que puis-je dire encore ? Ah oui ! Le visuel de la
série est beau, les dessins sont légers, clairs, avec une grande proportion de
couleurs froides se rapprochant par moments du blanc.
C’est donc la fin de cet article, je vous remercie de l’avoir
suivi et sur ce, je retourne désamorcer une bombe dans ma Cave.
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