Lorsque l’on m’a parlé de Star Driver pour la première fois,
je n’ai pas été très éclairé par mon ami, il faut dire qu’en général quand il
me parlait d’un animé qu’il trouvait bon il me disait « C’est un super
animé, mais je pourrais pas te dire pourquoi. » Ou alors « Tu sais,
c’est très particulier. » Sans préciser en quoi il l’était.
Heureusement
que je ne me suis pas arrêté à ça et que je me suis lancé dans le visionnage de
la série. J’ai ainsi découvert un des meilleurs mechas que j’ai vus.
Avant d’aller plus loin, il
me semble logique d’expliquer ce qu’est le
genre « mecha » dans les œuvres japonaises.
Eh bien tout
simplement il s’agit de mangas, animés, jeux vidéo, etc… incluant des robots
géants, pilotés ou non et se livrant généralement à des batailles titanesques.
Entre autres représentants les plus connus on trouve la série des Gundams (dont
je vais peut-être parler un des jours) ou encore Goldorak (connu au Japon sous
le nom de Grendizer).
Voilà, vous avez une idée générale de la situation.
Passons donc maintenant à Star Driver. La série s’ouvre sur
un couple marchant sur une plage, profitant du ciel étoilé. Leur promenade
nocturne est interrompue lorsqu’ils tombent sur le corps d’un jeune homme
apparemment inconscient. Il s’agit de Takuto Tsunashi, un étudiant récemment
transféré au lycée de l’île où va se dérouler l’intrigue de la série.
Très vite il apparaît que des évènements étranges ont lieu
dans cet endroit presque coupé du monde. Quelle est cette organisation qui veut
briser les sceaux détenus par les quatre prêtresses ? Et dans quel
but ? Alors que Takuto est mis KO par des membres de cette sinistre bande,
pendant qu’il s’aventurait de nuit dans une zone interdite, puis emmené à
l’intérieur, une autre dimension s’ouvre et le temps s’arrête.
Brusquement
freiné dans son élan provoqué par une tentative de sauvetage de la prêtresse du
Sud, notre héros se met alors à irradier d’une lumière aveuglante et récupère
sa capacité à se mouvoir dans cet autre espace privé de temps, au grand
étonnement de ses ravisseurs.
Il est alors révélé qu’il a la capacité de
manœuvrer un des robots scellés sur l’île, ces mêmes engins que veulent lâcher
sur le monde le groupe auquel il a affaire.
Commence pour lui une lutte
constante afin de protéger les trois prêtresses restantes et le monde.
Un des premiers points qui m’ont marqué dans cette série
c’est le design des robots. Ils sont tous une allure semblable à celle d’un
costume du carnaval de Venise et une apparence particulièrement esthétique.
J’ai immédiatement accroché avec ce visuel présentant un raffinement certain.
Pour ce qui est des personnages, ils ont tous un passé
exploré avec plus ou moins de profondeur, mais le plus important est que chaque
camp à des raisons que l’on pourrait considérer de bonnes pour se positionner
contre l’autre (même s’il reste quand même un bon paquet de connards du côté
des antagonistes, eh oui, la série reste malgré tout assez manichéenne)
Et les musiques. Ah ! Les musiques ! (et ceux qui
pensaient que j’allais écrire « Le dessert ! » après
« Ah ! » rentrez chez vous) Elles sont super, j’ai été très
emporté par la BO et les chansons qui accompagnent l’apparition des robots.
Et
plus particulièrement par la première que je considère comme la meilleure des
quatre.
Voilà, cette article vous a été servi un premier avril et ce
n’est pas une blague, parce qu’il faut pas croire, mais j’ai mieux à faire que
des poissons d’avril et puis j’ai pas l’imagination pour faire un truc bien
structuré.
Sur ce, je vous laisse, je vais bricoler un masque dans ma
Cave.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Donnez votre avis sur les articles, je suis curieux de connaître l'opinion des visiteurs à ce sujet