dimanche 1 avril 2018

Masques et Robots


Lorsque l’on m’a parlé de Star Driver pour la première fois, je n’ai pas été très éclairé par mon ami, il faut dire qu’en général quand il me parlait d’un animé qu’il trouvait bon il me disait « C’est un super animé, mais je pourrais pas te dire pourquoi. » Ou alors « Tu sais, c’est très particulier. » Sans préciser en quoi il l’était.
Heureusement que je ne me suis pas arrêté à ça et que je me suis lancé dans le visionnage de la série. J’ai ainsi découvert un des meilleurs mechas que j’ai vus.

Avant d’aller plus loin, il  me semble logique d’expliquer ce qu’est le genre « mecha » dans les œuvres japonaises.
Eh bien tout simplement il s’agit de mangas, animés, jeux vidéo, etc… incluant des robots géants, pilotés ou non et se livrant généralement à des batailles titanesques.
Entre autres représentants les plus connus on trouve la série des Gundams (dont je vais peut-être parler un des jours) ou encore Goldorak (connu au Japon sous le nom de Grendizer).
Voilà, vous avez une idée générale de la situation.

Passons donc maintenant à Star Driver. La série s’ouvre sur un couple marchant sur une plage, profitant du ciel étoilé. Leur promenade nocturne est interrompue lorsqu’ils tombent sur le corps d’un jeune homme apparemment inconscient. Il s’agit de Takuto Tsunashi, un étudiant récemment transféré au lycée de l’île où va se dérouler l’intrigue de la série.

Très vite il apparaît que des évènements étranges ont lieu dans cet endroit presque coupé du monde. Quelle est cette organisation qui veut briser les sceaux détenus par les quatre prêtresses ? Et dans quel but ? Alors que Takuto est mis KO par des membres de cette sinistre bande, pendant qu’il s’aventurait de nuit dans une zone interdite, puis emmené à l’intérieur, une autre dimension s’ouvre et le temps s’arrête.
Brusquement freiné dans son élan provoqué par une tentative de sauvetage de la prêtresse du Sud, notre héros se met alors à irradier d’une lumière aveuglante et récupère sa capacité à se mouvoir dans cet autre espace privé de temps, au grand étonnement de ses ravisseurs.
Il est alors révélé qu’il a la capacité de manœuvrer un des robots scellés sur l’île, ces mêmes engins que veulent lâcher sur le monde le groupe auquel il a affaire.
Commence pour lui une lutte constante afin de protéger les trois prêtresses restantes et le monde.

Un des premiers points qui m’ont marqué dans cette série c’est le design des robots. Ils sont tous une allure semblable à celle d’un costume du carnaval de Venise et une apparence particulièrement esthétique.
J’ai immédiatement accroché avec ce visuel présentant un raffinement certain.
Pour ce qui est des personnages, ils ont tous un passé exploré avec plus ou moins de profondeur, mais le plus important est que chaque camp à des raisons que l’on pourrait considérer de bonnes pour se positionner contre l’autre (même s’il reste quand même un bon paquet de connards du côté des antagonistes, eh oui, la série reste malgré tout assez manichéenne)

Et les musiques. Ah ! Les musiques ! (et ceux qui pensaient que j’allais écrire « Le dessert ! » après « Ah ! » rentrez chez vous) Elles sont super, j’ai été très emporté par la BO et les chansons qui accompagnent l’apparition des robots.
Et plus particulièrement par la première que je considère comme la meilleure des quatre.

Voilà, cette article vous a été servi un premier avril et ce n’est pas une blague, parce qu’il faut pas croire, mais j’ai mieux à faire que des poissons d’avril et puis j’ai pas l’imagination pour faire un truc bien structuré.

Sur ce, je vous laisse, je vais bricoler un masque dans ma Cave.

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