« Ton crime est ta propre existence » C’est avec ces
mots qu’Oz Vessalius est précipité dans l’Abysse, une dimension ténébreuse où sont envoyés les pires
criminels.
Alors qu’il devait passer à l’âge adulte, il se retrouve
subitement dans un endroit cauchemardesque où il rencontre Alice, surnommée le
Lapin Noir.
Il parvient malgré tout à sortir de cette geôle infernale et
est bien décidé à comprendre pourquoi il y a été enfermé.
C’est ainsi que débute Pandora Hearts, manga écrit et
dessiné par Jun Mochizuki.
S’inspirant des œuvres de Lewis Carroll et placée dans un
décor de style Angleterre victorienne, cette série développe un visuel très
sombre et parfois dérangeant malgré tout en accord avec l’ambiance du Pays des
Merveilles et du monde de l’Autre Côté du Miroir.
Soutenue par un florilège de personnages aux motivations pas
toujours claires, l’intrigue prend au fil des tomes une ampleur que le
commencement ne laissait pas soupçonner. Pour une réponse trouvée, une autre
question est posée et la quête se poursuit pour y répondre.
Il existe une adaptation animée de ce manga, mais le dernier
épisode étant sorti avant la conclusion de l’œuvre originale, il présente
certaines incohérences.
Je ne veux pas par là vous déconseiller de le voir, je tiens
seulement à vous mettre en garde et à ne pas prendre tous les éléments donnés
comme étant partie intégrante du scénario tel qu’il est présenté dans la
version papier.
Sur ce, je vous laisse, je dois aller jouer du piano dans ma
Cave.