Lorsque l’Imperium de l’Empereur Dieu de l’Humanité est mis
en danger par des créatures extra-terrestres, le seul rempart contre l’invasion
n’est autre que la chambre militante de l’Ordo Xeno appartenant à
l’Inquisition.
C’est donc ainsi que l’Inquisiteur Gudran… Gondru…
Gurandhilzervinansander (que nous appellerons Machin pour des raisons pratiques
évidentes) se retrouvera accompagné de quatre Space Marines de chapitres
différents afin d’enquêter sur des troupes aliens patrouillant dans les étages
inférieurs de la cité-ruche d’Équinoxe IV. Mais est-ce vraiment aussi simple
que ça ?
Voilà le pitch de base de la fiction sonore 40k Deathwatch
créée par Anubis.
Alors, vous avez pu lire dans le paragraphe précédent de
nombreux termes que vous n‘avez pas compris, je vais tâcher de développer au
mieux certains d’entre eux, même si je ne pourrais pas être exhaustif car
l’univers de Warhammer 40,000 est vaste
et très détaillé.
Les Space Marines sont le bras armé de l’empire humain
dirigé par l’Empereur Dieu, imaginez des croisés chrétiens de deux mètres de
haut, modifiés génétiquement, installés dans des armures de haute technologie
et utilisant des pistolets tirant des balles de calibre .75 pour les plus
petites.
Ces soldats fanatisés sont divisés en chapitres, en d’autres
termes en régiments, chacun dirigé par les préceptes de son fondateur.
Un cité-ruche est une ville titanesque dont la construction
s’est effectuée à la verticale en se servant des bâtiments comme base, plus on
est proche du sol de la planète, plus les quartiers sont pauvres et/ou
dépeuplés.
Hormis pour certains termes, un des gros points forts de
cette saga est que l’auteur explique ce qui est à savoir, ce qui rend
l’approche par des néophytes plus facile.
Le second point fort est l’humour porté par les personnages
que je vais présenter :
Vicconius, un jeune membre du chapitre des Blood Angels,
comme tous ses frères d’arme c’est une émo-gothique jusqu’aux racines des
cheveux. Il est également inexpérimenté, ne connaît pas certaines races aliens
qu’il combat et est défoncé aux drogues de combat H24.
Fulfgar, un Space Wolf (plus ou moins des vikings de
l’espace), personne ne comprend sa façon de s’exprimer au premier abord, mais
avec l’habitude, déchiffrer ses jappements est plus simple. Incapable de se
présenter sans lister ses faits d’armes, il ne fait pas non plus preuve d’une
intelligence de prix nobel.
Yamael, comme tous les Dark Angels, il parle peu, est très
psychologue et a une tendance à s’accrocher avec le premier Space Wolf qui
passe. S’il n’affirmait pas le contraire aussitôt après, on pourrait croire que
la moitié de son chapitre a trahi l’Imperium.
Bethor, un membre de la seconde escouade de la cinquième
compagnie Ultra Marine, l’escouade la plus glorieuse de la compagnie la plus
glorieuse du plus glorieux des chapitres des Space Marines. Incapable d’ouvrir
la bouche sans parler de gloire, il se réfère toujours au livre écrit par le
fondateur de son chapitre et le considère comme une vérité absolue.
Tout ce petit monde est dirigé par l’Inquisiteur Machin (oui
j’ai la flemme de taper son nom une seconde fois), un homme d’une foi
infaillible envers l’Empereur-Dieu et dont l’obsession n’est autre que de
purifier l’univers des hérétiques, des xenos, des impurs et des manifestations
chaotiques. Cela va sans dire, mais il ne supporte pas que l’on écorche son
nom.
Enfin, j’aime beaucoup les musiques qui accompagnent très
bien le scénario et mettent l’auditeur dans l’ambiance.
Si vous souhaitez découvrir cette saga, je vous invite à
suivre ce lien, et sur ce je retourne dans ma Cave, je dois aller prier
l’Empereur-Dieu de l’Humanité.